Time 6MARS 2017 

3sites hortaSexe, jeu, internet et psychiatrie. 


Time 3Samedi 25 mars 2017

Places-39Chu Brugmann . Auditoire PP Lambert

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Gratuit pour les membres SRMMB.  -  Pour devenir membre de la SRMMB cliquez ici
30 euros pour les non-membres

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  • 9h :Accueil des participants et introduction de la thématique : Prof Philippe de Timary, Monsieur Vincent Dethie(Service de Psychiatrie Adulte, cliniques Saint-Luc)

  • 9h30 : Prof Axel Cleeremans. (Centre de Recherche en Cognition et Neurosciences, ULB) : Les nouvelles technologies influencent elles la cognition ?

  • 10H 10: Madame Aline Wéry (Institut de psychologie, UCL) : Accompagnement de l’utilisation problématique de cybersexualité, une illustration clinique.

  • 10h50 à 11h15 : Pause Café

  • 11h15 à 12h : Prof Olivier Servais (Ecole des Sciences Politiques et Sociales,  UCL) : L’eschatologie « No Life », des hermites virtuels? Ethnographie de joueurs intensifs de jeux –vidéos .
  • 12h à 12h45 : Monsieur Guillaume Descamps (Psychologue, Centre Thérapeutique pour adolescents) : L’utilisation du jeu et de l’avatar dans l’élaboration des enjeux psychiques chez l’adolescent.
  • 12h45 : Conclusions et repas

 

 

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Time 6DECEMBRE 2016 

genvalLe trauma dans tous ses états. 


Time 3Samedi 10 décembre 2016

Places-39Chateau du lac de Genval

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Gratuit pour les membres SRMMB.  -  Pour devenir membre de la SRMMB cliquez ici
30 euros pour les non-membres

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  • 9h : Accueil des participants et mot du président : Prof Charles Kornreich

  • 9h15 : Prof Pierre Fossion. (ULB, CHU Brugmann) : La transmission transgénérationnelle du trauma

  • 10H : Yvonne Masika Duagani (Université de Kinshasa) : Réviviscence traumatique et partage social des émotions dans les états de stress post-traumatique à L’Est de la RD du Congo

  • 10h45 à 11h15 : Pause Café

  • 11h15 à 12h : Prof Bernard Rimé (Institut de Recherche en Sciences Psychologiques UCL) : L’impact social des évènements émotionnels collectifs

  • 12h à 12h45 : Amélie Simon (Psychologue, Formatrice Thérapie Brève du Trauma) : Trauma et Dissociation : l’impact de l’hypnose conversationnelle en thérapie brève.

  • 12h45 : Conclusions et Assemblée Générale

  • 13h15 : Walking Dinner


Arguments des conférences:

Résumé exposé Pierre Fossion :

Dans cette présentation, nous nous intéressons à la question de la transmission de l’impact psychologique d’un traumatisme majeur d’une génération à l’autre. Nous formulons et vérifions les hypothèses suivantes :

• Un haut niveau de troubles anxio-dépressifs chez des parents traumatisés altère le fonctionnement familial.

• Cette altération du fonctionnement familial influence négativement la capacité de leurs enfants à développer des stratégies de coping efficaces.

• Ces stratégies de coping peu efficaces rend les enfants de parents traumatisés plus enclins à développer eux-mêmes des troubles anxio-dépressifs à l’âge adulte.

Résumé exposé Yves Duagani :

La mémoire et les fonctions émotionnelles jouent un rôle principal dans l’état de stress post-traumatique. Notre étude tente d’établir un lien entre le partage social des émotions liées aux événements traumatiques dûs aux conflits armés et les symptômes de reviviscence traumatique. L’étude s’est déroulée au Nord-Kivu (Est de la RD Congo) respectivement dans les cités de Lubero, Kirumba ,Kayna et leurs environs.

Les résultats montrent que la plupart des sujets témoins et victimes des événements traumatiques ont tendance à partager leur expérience émotionnelle. Les symptômes de reviviscence n’ont toutefois pas été significativement différents selon que les sujets ont partagé à une personne ou plus ; ou encore à un professionnel de santé ou pas..

Résumé exposé Bernard Rimé:

Les émotions ne constituent pas des manifestations intra-individuelles limitées à la sphère subjective comme on l'a cru pendant longtemps. Chaque épisode émotionnel constitue un puissant stimulant de la communication sociale. En outre, le partage social des émotions n'est pas réservé aux expériences individuelles.

Les événements tragiques survenus en France puis en Belgique sous forme d'attentats terroristes ont démontré une fois de plus à quel point les expériences émotionnelles collectives suscitent une effervescence communicationnelle dans la population. Quelle est la dynamique qui détermine ce partage social des émotions lors d'épisodes émotionnels collectifs. Quels en sont les effets? L'exposé s'attachera à l'examen de ces questions.

Références

- Rimé, B. (2015). Le partage social des émotions. Préface de Serge Moscovici. Paris: Presses Universitaires de France, Quadrige Essais/débats. (2e édition).

- Rimé, B. (2009). Emotion elicits the social sharing of emotion: Theory and empirical review. Emotion Review, 1, 60-85. DOI: 10.1177/1754073908097189

- Páez, D., Rimé, B., Basabe, N., Wlodarczyk, A. & Zumeta, L. (2015). Psychosocial effects of perceived emotional synchrony in collective gatherings. Journal of Personality and Social Psychology, 108, 711-729. DOI: 10.1037/pspi0000014

- Paez, D. & Rimé, B. (2014). Collective emotional gatherings. Their impact upon identity fusion, shared beliefs and social integration. In C. von Scheve & M. Salmela (Eds.), Collective Emotions: Perspectives from Psychology, Philosophy, and Sociology, (pp. 204-216).Oxford, UK : Oxford University Press .

Résumé exposé Amélie Simon:

La dissociation reflète une réponse d’évitement (souvent non consciente) face à une détresse psychologique insurmontable pour l’individu qui la subit. Cette réponse agit en effet comme une protection durant et immédiatement après un événement potentiellement traumatique. Elle réorganise ensuite les processus mentaux et psycho-biologiques afin d’en amoindrir l’impact. Les éléments appartenant à ce qui constitue un souvenir traumatique pour l’individu se trouvent dès lors déconnectés et mémorisés hors du stock habituel des souvenirs autobiographiques, tout en continuant à exercer leur influence dans la vie du patient.

Face à cette réalité dissociative dans le cadre du travail clinique avec des patients souffrant de troubles post-traumatiques (simples ou complexes), la Thérapie Brève du Trauma (TBT) propose d’intégrer à la thérapie brève des techniques spécifiques d’hypnose conversationnelle.

Celles-ci permettent en effet de protéger davantage le sujet d’une possible reviviscence douloureuse de ces événements traumatiques, de transformer les éléments à l’origine des émotions aversives en utilisant l’imaginaire du patient, et surtout de rentrer dans une action émotionnelle et corporelle correctrice pour sortir du figement traumatique. Ceci s’effectue notamment grâce à une maitrise des aspects dissociatifs recadrés et réutilisés consciemment pour leur fonction naturelle de protection.

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Time 6Septembre 2016 

fondroy300Concours de la première communication scientifique


Time 3Samedi 17 septembre 2016

Attention: Changement d'auditoire 

Places-39Salle de séminaire du service de psychiatrie - Campus Brugmann
Site Victor Horta, Avenue Rommelaere 4d , 1020 Bruxelles

Voir l'accès précis à la salle sur le plan du site Brugmann

 

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PROGRAMME 

9h : Introduction et mot du président : Prof Charles Kornreich

9h15 : Conférence inaugurale : Dr Jean-Luc Evrard, secrétaire général SRMMB: Le trauma dans le DSM

Session Psychiatrie Clinique

9H45 : Dr Michaël Simon (ULG): L’épisode inaugural de l’adolescent : favoriser un diagnostic et une prise en charge précoce

10h15 : Dr Vito Infante (UCL) : Un état maniaque induit par la moxifloxacine chez un patient bipolaire

10h45-11h15 : pause café

Session Psychiatrie Sociale

11h15 : Dr Julie Bruyere (ULB) : Les ados de Robert Dubois : une structure de prise en charge de refus scolaire anxieux

11h45 : Dr Melissa Blondiaux (ULB) : Un trouble schizo-affectif vu d’un point de vue systémique.

12h15-12h30 : Délibération du jury

12H30 : Proclamation des résultats et conclusion par le Prof Philippe de Timary, président du jury

13h : Walking Dinner

 

Voir le réglement du concours de la première communication scientifique de la SRMMB. 

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Time 6Evenements Passés :JUIN 2016 

fondroy300Souffrance psychique intolérable et euthanasie


Time 3Samedi 11 juin 2016

Places-39Faculté de Psychologie de l'ULB - Campus Solbosch
Salle Dupréel: 1° étage du batiment S

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Téléchargez l'affiche de la journée

 

- 9h : Accueil et mot du président de la SRMMB : Prof Charles Kornreich

Modératrice : Jacqueline Herremans. Juriste.
Présidente de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité.
Membre de la Commission Fédérale de Contrôle et d'Evaluation de l'Euthanasie

- 9h15-10H : Dr Rodolphe Van Wijnendaele (Psychiatre Clinique Sainte-Anne Saint-Rémi CHIREC) : L’euthanasie et le suicide: entre l’éthique médicale et l’interrogation philosophique

- 10h-10h45 : Dr Dominique Lossignol (Chef de Service Soins palliatifs Institut Bordet) : Empathie ou pitié dangereuse?

- 10h45-11h15 : pause café

Modérateur : Benoît Van der Meerschen,

Secrétaire général adjoint du Centre d’Action laïque (ancien président de la Ligue des Droits de l’Homme)

- 11H15-12h : Prof Darius Razavi (Institut Jules Bordet. Université Libre de Bruxelles) : La psychiatrie à l'épreuve de la clinique de l'euthanasie: réalités et défis

- 12h-12h45 : Dr Benoit Gillain-Dr Christophe Geus : Clinique Saint-Pierre à Ottignies : Le psychiatre et l’euthanasie

- 12h45 : Conclusions et walking dinner


Arguments des conférences:

Résumé exposé Dr Van Wijnendaele :

Le but de cet exposé est de proposer une réflexion historique sur la question du suicide. Cette réflexion permettra de dégager la manière dont notre société traite cette question complexe, de manière tout à fait originale, en la considérant comme un fait médical, et particulièrement psychiatrique. La manière dont la question de l’euthanasie fait irruption dans le champ psychiatrique souligne les apories soulevées par cette médicalisation d’un problème qui était auparavant sujet de réflexion philosophique et religieuse plus que médicale.

Un ensemble de lois sera abordé, entre autres les lois sur la protection de la personne des malades mentaux, sur l’euthanasie et sur la non-assistance à personne en danger. Le diagnostic psychiatrique se trouve au coeur de ces différentes lois, et pose de ce fait un problème éthique complexe et épineux. Les contradictions soulevées par ces différentes lois seront abordées.

La réflexion médicale se révèle insuffisante pour résoudre ces problèmes, qui débordent largement de sa zone de compétence. Il existe de ce fait une nécessité d’une réflexion sociale large autour de la question de la mort et du sens de la vie.

Résumé exposé Dr Lossignol :

La souffrance est, mais ne mérite pas d’être : elle est à rebours de la vie. Elle peut marquer la limite du donner-recevoir de la part du soignant. Faut-il aller jusqu’à la désespérance de l’autre et pire encore la contempler ? C’est cette « souffrance inapaisable » qui peut aussi être reconnue et considérée comme la voie sans issue qui ne disparaîtra qu’avec la disparition de la personne. Empathie et compassion sont reconnues comme des vertus, des valeurs respectables ce qui fait qu’elles ne sont pas exclusivement liées à la pratique médicale. C’est aussi pour cela que la reconnaissance de la souffrance d’autrui ne sera pas systématique et qu’elle peut même être ignorée, consciemment ou non. A l’opposé, il existe un risque de considérer la souffrance d’autrui comme ayant un impact majeur sur soi-même ce qui dénature les rapports interpersonnels et rend la pratique dénuée de toute objectivité. On parlera de « pitié dangereuse » si l’empathie, ou la compassion, submerge le praticien, lui faisant perdre son objectivité, mais on pourra aussi invoquer la défense inconsciente des soignants, dès que ceux-ci restent sourds et aveugles face aux plaintes des malades, à leur souffrance incommensurable.

Résumé exposé Prof Razavi :

La discussion des aspects psychologiques et psychiatriques de l’euthanasie souffre d’une insuffisance de casuistique et de recherche  à ce niveau. Ceci traduit le malaise des psychiatres par rapport à cette pratique. Les cas les plus connus et, sans doute, les mieux documentés concernent très souvent des personnages publics. La présentation, illustrée par des vignettes cliniques, se focalisera sur les concepts psychologiques et psychiatriques utiles à considérer pour une bonne compréhension d'une demande d'euthanasie. Le rôle possible des psychiatres dans ce contexte sera présenté.

Résumé exposé Drs Gillain et Gheus :

Régulièrement l'avis d'un psychiatre est sollicité : la demande d'euthanasie est-elle, ou pas , modulée par un état psychopathologique ? Ce dernier est il traitable ?

La mort fait partie intégrante du travail en psychiatrie. C'est aux psychiatres qu'on demande d'intervenir auprès des survivants de suicide. Beaucoup de nos patients parlent de leur mort, du non sens de leur vie, de vouloir en finir avec une souffrance qui les accable. Des familles partagent l'insoutenable de la maladie mentale d'un proche. Des soignants sont confrontés à l'impuissance et aux fantasmes de mort à l'égard des patients.

L’exposé brossera le rôle du psychiatre aux côtés de nos collègues somaticiens confrontés aux demandes d'euthanasie et qui demandent "un second avis". Les "maladies" psychiatriques seront discutées ainsi que la notion « d’affections graves et incurables » dans ce contexte. 

 


 

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Time 6Evenements Passés : MARS 2016 

fondroy300Interface pédo-psychiatrie-psychiatrie adulte : le problème de la transition


Time 3Samedi 12 mars 2016

Places-39EPSYLON - Clinique Fond'Roy- Salle Winnicott
Av. Pastur, 43, 1180 Uccle

A l’occasion de la réforme en santé mentale infanto-juvénile, la SRMMB a voulu se pencher sur le problème du passage de témoin entre psychiatres infanto-juvéniles et psychiatres d’ adultes lors de la transition entre l’adolescence et l’âge adulte. En effet, de nombreux adolescents suivis de longue date par des pédo-psychiatres ont difficile à changer de thérapeute et de méthode d’approche. Comment améliorer la continuité des soins et le passage du témoin ? A quel moment et comment peut-on passer le relais ? Nos structures de soin sont-elles adaptées pour gérer cette transition ?La journée du 12 mars sera organisée à Fond-Roy, qui fête cette année les premiers pas de la nouvelle structure Area + destinée précisément à l’accueil et au suivi d’adolescents en difficulté. Plusieurs professionnels de haut niveau, experts de cette transition nous feront part de leurs expériences .

 

 Business 80Programme

09:00    Mot d'accueil du Prof. Charles KORNREICH, président de la SRMMB et du modérateur de la journée Dr Alexandre BEINE, Chef d’Unité Résidentielle Area +

09:15    Le projet Milestone: Projet Européen de transition.  Prof  Véronique DELVENNE (Chef du service de pédopsychiatrie HUDERF

10:00    Les enjeux et les écueils de la transition adolescence-âge adulte.  Dr Bruno PICCININ (Titeca) 

10:45    Pause café

11:15    Thérapeute d’adolescent-thérapeute d’adulte : une toute autre posture ? Dr Elisabeth DUCHENE (Chef d’unité au lycée thérapeutique Area+) 

12:00    Le jeune adulte : acquisition de la majorité et processus de maturité.  Dr Paul du ROY (Chef de service Unité jeunes adultes Fond-Roy)

12:45    Conclusions et discussion

13:00    Lunch

La journée sera suivie de l'ASSEMBLEE GENERALE de la SRMMB qui abordera notamment l'approbation des comptes 2015 et le projet de passage en asbl en 2016. 

Télécharger le folder de la journée avec des informations complémentaires

 


 

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Time 6EVENEMENTS PASSES: DECEMBRE 2015 

drguislain300HISTOIRE de la PSYCHIATRIE


Time 3Samedi 12 décembre 2015

Places-39Museum  Dr Guislain à Gand
Jozef Guislainstraat 43, 9000 Gent

VOICI QUELS ETAIENT l'ARGUMENT ET LE PROGRAMME 

 

    • Pourquoi fallait-il créer le Musée Dr. Guislain?
      L’accès très malaisé aux connaissances et aux informations en matière de soins de santé mentale en général et de la psychiatrie en particulier, constituait en 1986 le principal motif pour instaurer un musée sur l’histoire de la psychiatrie. Au début des années 80, le Frère Dr René Stockman, l’actuel Conservateur du musée ainsi que Supérieur général des Frères de la Charité et Directeur général du centre psychiatrique Dr Guislain a évalué à sa juste valeur le patrimoine que représentent les anciens bâtiments du site ainsi que les objets qui y étaient conservés. On notait à l’époque de très fortes réticences à montrer cette part du patrimoine, certainement dans le chef des personnes prestataires de services de soins de santé mentale : la gêne ressentie à l’égard de leur propre passé était à ce point intense qu’elle générait une sorte de tabou face à leur propre vécu. Autant d’obstacles qui poussaient les défenseurs du Musée à prendre le départ. Le Musée espère tout particulièrement mettre en avant que le concept de ‘démence’ ou de ‘trouble psychiatrique’, n’a, en aucun cas, une portée exclusivement médicale. Il implique dans tous les cas un élément relevant de structures socioculturelles et idéologiques. Ce sont précisément ces derniers aspects qui peuvent déterminer, de manière impérieuse, notre attitude à l’égard de la maladie mentale.
    • Une journée sur l’histoire de la psychiatrie, notre histoire.
      La journée verra se succéder plusieurs orateurs prestigieux autour d’une perspective historique de notre spécialité.
    • C’est ainsi que le Professeur Verbanck, Chef du Service de Psychiatrie au CHU Brugmann et Professeur Ordinaire à l’Université Libre de Bruxelles évoquera pour nous le destin d’un diagnostic psychiatrique ancien, lié au premier conflit mondial, celui d’obusite.
    • Le Professeur Fouchet, actuel Doyen de la Faculté des Sciences Psychologiques et de l’Education à l’ULB, est par ailleurs psychanalyste et responsable de l’école de formation à la psychothérapie de l’ULB. Il retracera pour nous l’histoire compliquée des rapports qu’ont entretenu la psychiatrie et la psychanalyse au cours du temps.
    • Nous avons le plaisir d’accueillir le Professeur Hochmann, qui est particulièrement connu pour ses travaux sur l’histoire de la psychiatrie, qu’il a côtoyée de manière directe au cours de sa vie : il a été notamment en contact avec Carl Rogers ainsi qu’avec l’école de Palo Alto. Il a publié de nombreux ouvrages, notamment sur l’autisme, mais également sur l’histoire de la psychiatrie et plus récemment sur les mouvements antipsychiatriques.
    • Finalement, le Professeur Jean-Noël Missa a la particularité d’être médecin et enseignant à la Faculté de Philosophie de l’ULB. Il s’est intéressé à de multiples questions éthiques qui touchent au domaine médical et notamment aux questions philosophiques posées par la psychiatrie. Son exposé sera centré sur la question fondamentale du libre-arbitre en psychiatrie.

 Business 80Programme

08:45    Accueil des participants 

09:00    Mot d'accueil duProf. Charles KORNREICH, président de la SRMMB

09:15    Histoire de la conception du libre arbitre en lien avec les maladies psychiatriques.  Prof Jean-Noël MISSA (Fac de philosophie ULB

10:00    Histoires entrelacées de la psychanalyse et de la psychiatrie?  Prof. Philippe FOUCHET (Fac. des Sc.Psychologiques et Educ. ULB) 

10:45    Pause café

11:15    Histoire des mouvements antipsychiatriques. Prof Jacques HOCHMANN (Université de Lyon) 

12:00    Destin d'un diagnostic psychiatrique: l'obusite.  Prof. Paul VERBANCK(CHU Brugmann, Bruxelles)

12:45    Conclusions et discussion

13:00    Walking Dinner et visite guidée du musée


Programme Srmmb 12-12-2015

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Time 6EVENEMENTS PASSES: SEPTEMBRE 2015 

conference350Concours de la première communication scientifique
à destination des assistants en psychiatrie. 


Time 3Samedi 12 septembre 2015

Places-39Cliniques Universitaires Saint-Luc, Woluwé
Avenue Hippocrate, 10, 1200 Woluwé-Saint-Lambert (Bruxelles)
Salle de réunion de médecine interne, 3° étage, Route 39

VOICI QUELS EN ETAIENT l'ARGUMENT ET LE PROGRAMME 

    • Le concours de la S.R.M.M.B. pour les candidats spécialistes en psychiatrie est organisé une fois l’an.
    • Il est destiné à récompenser une communication scientifique originale qui sera présentée dans un des trois domaines suivants :
      • psychiatrie biologique (y compris électrophysiologie, imagerie,...)
      • psychiatrie sociale (y compris épidémiologie, santé publique, ethnopsychiatrie ...)
      • psychiatrie clinique et psychothérapies. (Sont exclues les communications portant sur les résultats d'essais cliniques comparatifs de Psychotropes)
    • Ce prix annuel est financé par la SRMMB. qui offrira à chacun des 3 premiers lauréats un prix de 500 €. Les autres finalistes recevront un prix de 250 € pour autant qu’ils rencontrent les critères de l'article 10.3

    •  Business 80Programme

      Cliquez ici pour télécharger le programme complet  

Règlement du prix de la première communication scientifique pour les assistants en psychiatrie. Version 2015

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Time 6EVENEMENTS PASSES  : JUIN 2015

Traitement psychothérapeutique de la dépression.

Les recommandations du KCE en 2014


Time 3Samedi 13 juin 2015

Places-39Château de Havré à Mons

VOICI QUELQUES PHOTOS DE CETTE JOURNEE  

 

VOICI QUELS EN ETAIENT l'ARGUMENT ET LE PROGRAMME 

    • Quel traitement pour la dépression: médicaments et/ou psychothérapie ? Prescrit-on trop d'antidépresseurs?havre
    • C'est ce qui est parfois évoqué au vu de leur coût, de leur faible durée de prise réelle (pas plus d'un mois en moyenne), et du nombre de doses quotidiennes administrées en Belgique. Les psychothérapies sont-elle efficaces, plus, moins, autant que les antidépresseurs? Le KCE (Centre Fédéral d’Expertise) s'est récemment penché sur la question et a publié en 2014 un rapport, principalement à partir d'une revue de la littérature tenant compte du modèle « Evidence Based Medicine ». Des questions ont été posées, certaines réponses sont données.
    • Cette matinée de travail modérée par la professeure A. Seghers sera l'occasion d'aborder le traitement de l'épisode dépressif majeur sous différents angles: le rapport du KCE par Madame K. Holdt et le Dr B. Gillain, la prise en compte des dimensions processuelles et relationnelles dans l’évaluation scientifique de l’efficacité thérapeutique par la Prof E. Zech, une différenciation des antidépresseurs par le Dr D. Souery et enfin le point de vue d'une psychiatre clinicienne de terrain par le Dr. A. Collin.
    • Après les traditionnelles agapes de nos journées, des visites accompagnées permettront de profiter du Château d'Havré et en particulier de l'exposition organisée par l'ASBL « Psychart » qui y a rassemblé une série d’oeuvres à l'occasion de "Mons 2015".

 Business 80Programme

08:45    Accueil des participants 

09:00    Mot d'accueil duProf. Charles KORNREICH, président de la SRMMB et de la modératrice de la journée, le Prof. Arlette SEGHERS

09:15    Le point sur le rapport du KCE.  Dr Benoit GILLAIN (Clinique St-Pierre, Ottignies) et Kirsten HOLDT , collaboratrice du KCE

10:00    Est-ce que tous les antidépresseurs se valent  ?  Dr Daniel SOUERY (Psy-Pluriel) 

10:45    Pause café

11:15    Evaluations scientifiques et efficacité psychothérapeutique. Prof Emanuelle ZECH(Faculté de Psychologie UCL) 

12:00    Le regard du clinicien.  Prof Annie COLIN (psychiatre à Saint Vincent de Rocourt et en privé, Maître de Conférences à l’ULG) 

12:45    Conclusions par le prof Arlette SEGHERS

13:00    Lunch et visite de l'exposition Psych'art

 

 

 

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Time 6EVENEMENTS PASSES: Mars 2015

 

TRAITEMENTS EN PSYCHIATRIE : 

PLACE DES NOUVELLES TECHNOLOGIES


Time 3Samedi 14 mars 2015

Places-39Hôpital Vincent Van Gogh
Rue de l’Hôpital 55, 6030 Charleroi

VOICI QUELS EN ETAIENT l'ARGUMENT ET LE PROGRAMME 

    • L’utilisation des nouvelles technologies pourrait prendre une place à côté de nos traitements « traditionnels » que sont les psychotropes et les psychothérapies.
    • L’utilisation de la réalité virtuelle peut en effet faciliter les techniques d’exposition qui sont utilisées par les TCC dans nombre de troubles anxieux.
    • La stimulation cérébrale profonde a montré son utilité dans quelques affections particulièrement réfractaires au traitement.
    • L’utilisation de la kétamine porte l’espoir d’améliorations rapides des états dépressifs sévères, particulièrement lorsqu’ il existe un risque suicidaire.
    • Les techniques de stimulation cérébrale non invasives, par stimulation magnétique ou   électrique apporteront peut-être demain une alternative ou un complément aux traitements psychotropes, et ce d’autant mieux qu’on apprendra à les combiner aux traitements existants.
    • Finalement, la remédiation cognitive exerce les « fonctions exécutives » telles que les capacités attentionnelles, la mémoire de travail ou l’inhibition de comportements automatiques à l’aide de jeux informatisés, et pourrait aider nos patients dans des domaines où nous sommes relativement impuissants à l’heure actuelle.

 Business 80Programme

08:45     Accueil et présentation de la journée par le Professeur Charles KORNREICH, Président de la SRMMB

09:00    TCC et réalité virtuelle dans le traitement des troubles anxieux Noël SCHEPERS, Eric HAVAUX, psychologues Hôpital Van Gogh

09:30    Stimulation cérébrale profonde dans le TOC résistant. Où en sommes nous ? Docteur Philippe FONTAINE Chef du service de Psychiatrie Hôpital Van Gogh

10:00    Discussion-réponse aux questions 

10:15    Pause café

10:45    Utilisation de la Kétamine dans la dépression résistante : état de l’art en 2015 Docteur Yves Thomas GREGOIRE Psychiatre Hôpital Van Gogh

11:15    Nouvelles techniques de stimulation cérébrale : utilisation dans la dépression et dans les addictions Professeur Charles KORNREICH, CHU Brugmann

11:45    Apport de la remédiation cognitive en psychiatrie Xavier NOËL, Chercheur Qualifié FNRS.  Laboratoire de Psychologie Médicale et Addictologie ULB

12:15    Questions et discussion

12:30    Lunch (sur réservation)

Transfers 1 Télécharger le folder complet de présentation de la journée. 

 

 

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